L'eau ruisselle
L’eau
ruisselle sur un visage
que je dois
bien reconnaître
être mien.
Torturé par
un cercle de pensées
hantées par
une intériorité
que je me
serais jamais permise
si tu ne me
l’avais ordonné,
Toi !
au point plus élevé
de ta
conception.
Toi !
qui a tant donné et
à qui je
dois à présent,
voler les
dernières volontés.
Seraient-elles
douces que mon méfait
serait déjà
un sujet d’écœurement,
mais les
lignes glaciales étalées là
sont
claires -
Un feu
déclaré par de vertes cendres et
de criantes
histoires démises,
qui n’en
sont pas moins…. miennes,
banales et
bancales.
Il n’y a
plus qu’à avancer du pas sûr
de celui
qui se sait brûler
du feu
ovale ou de la lunaire lumière.
Des régions
des lacs aux terres arides,
fiefs du
cercle de feu
rongé par
sa propre voracité,
je me
faufile dans les interstices
que l’on me
propose encore.
Je cherche
une logique dans les éléments
qui
m’inclurait encore !
Suis-je
sage d’ainsi penser
y trouver
ma voie, moi
qui ait
tant gaspiller ?